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Bonjour
Infos-lettre n°3 - février 2008
 
 
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La C.P.A.M. en travaux
La rénovation de l’accueil du siège de la C.P.A.M. Pau-Pyrénées bat son plein.
L’entrée principale du bâtiment est condamnée pour 6 mois. A proximité de cette dernière, une autre porte d’accès vous permet de vous rendre à l’accueil et aux étages.

Attention, le nombre de places de parking est réduit du fait de la présence de véhicules et de matériels des entreprises.

Rien ne change pour le stockage et la délivrance des colis de fournitures mis à disposition par le service Logistique (G.M.I.)

La Direction vous prie de bien vouloir accepter ses excuses pour les éventuels désagréments.



Le chèque Santé pour accéder à la complémentaire
Certains d’assurés en Béarn et Soule n’ont encore aucune « complémentaire santé ». Avec l’apparition des franchises médicales, le montant remboursé par l’assurance maladie diminue. La part remboursée est susceptible de varier avec la présence ou non de l’assuré dans le parcours de soins.

Si les titulaires de la C.M.U. accèdent aux soins, certains foyers dont les ressources ne dépassent pas 20 % au dessus du plafond peuvent prétendre au Chèque Santé.

Il s’agit d’une aide à la souscription d’un contrat pour les frais d’optique, dentaires et d’hospitalisation. L’assuré choisit lui-même un organisme complémentaire. Cette aide se matérialise par un « chèque santé » dont le montant varie de 100 à 400 euros par personne. Il donne droit à une réduction sur la cotisation de la mutuelle
Plus de 3000 personnes ont profité d’un dispositif similaire en 2007, c’est encore peu. Certains de vos patients dépassant « le plafond de ressources de la C.M.U. » peuvent peut-être en bénéficier, alors faites passer l’info…

Pour en savoir plus
Comment cela marche t-il ?
La présentation officielle du Ministère de la Santé



Il est très difficile de vous lire
Nos services éprouvent beaucoup de mal à relire les formulaires remplis de façon manuscrite. Vous relire et comprendre une phrase ou saisir une précision écrite de votre part nécessitent la relecture de plusieurs collègues à œil de lynx !
Nous perdons un temps certain à vous décrypter et quelquefois, nous sommes obligés de vous déranger, pour comprendre votre écrit.
Ces erreurs sont préjudiciables au traitement de certains dossiers.
Si les pages d’écriture ne sont plus d’actualité, les équipes de la C.P.A.M. vous remercient d’avance pour vos efforts de calligraphie…



Le courrier électronique : pour une communication plus rapide et moins coûteuse
Afin de faciliter et d’optimiser nos relations, nous vous rappelons que vous pouvez nous faire part de votre adresse Internet soit :

- par message adressé sur le site contact.sante@cpam-pau.cnamts.fr

- en téléphonant au 05.59.90.38.25



Taxis : une nouvelle convention locale
Après plusieurs semaines de négociation, un accord a été trouvé entre les divers partenaires.
Il s’est concrétisé par une nouvelle convention de tiers-payant, conclue pour une durée de neuf mois (du 1er octobre 2007 au 30 juin 2008).
Avant le terme de cette période, un bilan des dépenses des taxis sera examiné en commission de concertation.



Hépatites : informer, prévenir et traiter
Touchant quelque 500 000 personnes en France, les hépatites virales chroniques B et C constituent un réel problème de santé publique.
La plupart de ces infections sont longtemps latentes et certaines ne sont découvertes que lors de l’apparition de complications, telle qu’une cirrhose ou un cancer du foie.

L’hépatite B chronique touche quelque 280 800 personnes en France, dont plus de la moitié l’ignorent. Elle est responsable chaque année d’environ 1 500 décès. Le virus très contagieux se transmet par voies sexuelle et sanguine, ou encore de la mère à l’enfant.

Près de 221 400 personnes sont porteuses chroniques en France d’une hépatite C, à l’origine de 2 600 décès annuels. Environ un tiers d’entre elles ignorent qu’elles sont contaminées. Elle évolue souvent de façon silencieuse pendant 10 voire 20 ou 30 ans. Le virus se transmet par le sang. La transmission concerne essentiellement les toxicomanes, mais la cocaïne inhalée, les tatouages, les peircings et l’acupuncture créent des terrains à risques

Prévention de l’infection, dépistage, information des personnes exposées au risque et des personnels de santé, constituent les axes majeurs de la lutte contre ces affections.

Pour plus d’informations :
dossier "Hépatite B " sur www.sante.gouv.fr
dossier "Hépatite C" sur www.sante.gouv.fr


Nous vous recommandons deux documents édités et diffusés par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) www.inpes.sante.fr


- à l’attention des MEDECINS

Hépatite C : Dépistage, clinique, prise en charge et conseil aux patients
A l’usage des professionnels de santé le livret fait le point sur l’hépatite C : présentation clinique, prise en charge des malades atteints, conseils aux patients et à l’entourage, pôles de référence VHC, associations de lutte contre l’hépatite C

Télécharger au format pdf (634 Ko)
Pour commander




- à l’attention des PATIENTS :

Hépatite C : Du dépistage au traitement - Questions et réponses
Ce livret contient l’essentiel des connaissances actuelles sur l’hépatite C. Réalisé pour répondre aux questions que se posent les personnes atteintes et leur entourage.

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Pour commander









Autres contacts :

- REZOPAU
le réseau Ville Hôpital Sida Hépatites et Addictions en Béarn et Soule
Hôpital de Pau - Centre Hauterive
www.rezopau.org


- SOS Hépatites
www.soshepatites.org


- Infos écoute
10/13h - 14/18h





Alcool : un rôle confirmé en matière d'ostéoporose
La lettre d'information sur l'alcool publiée par l'Institut National pour l'Education à la Santé (I.N.P.E.S.) fait le point sur les résultats de l'étude de l'International Osteoporosis Foundation.

Toutes les 30 secondes, un européen est victime d'une fracture due à l'ostéoporose.

Cette maladie affectant la solidité osseuse est une cause majeure de perte d'autonomie des aînés. Seule une personne âgée sur trois, recouvre son niveau d'autonomie antérieur.

Si de nombreux facteurs de risques fixes ou modifiables entrent en cause, l'alcool et ses effets étaient rarement considérés.

Consommer plus de 4 unités d'alcool par jour double le risque de fracture de la hanche tant chez les hommes que chez les femmes. Une unité d'alcool représente 10 grammes, c'est-à-dire un ballon de vin, ou un demi de bière.

La consommation d'alcool rejoint la liste des facteurs de risques au même titre que l'alimentation carencée en vitamine D ou en calcium, le manque d'exercice, la faible corpulence et la propention élevée à chuter.
Pour en savoir plus

 

 
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Pour joindre vos contacts privilégiés : 05 59 90 38 25 du lundi au vendredi de 8 h à 17 h
 courriel : contact.sante@cpam-pau.cnamts.fr